Pour nous, l’essentiel, c’étaient les animaux. Et ceux-ci n’ont manifestement aucun problème pour se diriger vers l’abattoir en avançant sur l’allée bétonnée, et – passant même par quelques marches – pour arriver à l’endroit où ils sont tués. Notre équipe est heureuse elle aussi, il y a de bonnes relations. Pendant le bétonnage, nous avons vu régulièrement des animaux approcher : des ours, des coyotes, deux aigles. Cela correspondait à ce que José Martinez avait prédit : le monde animal allait observer ce qui se passe.